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On change régulièrement ses draps. Mais la couette, elle, reste souvent oubliée. Pourtant, elle accumule la transpiration, les cellules mortes, et parfois les acariens si elle n’est pas protégée. Voici les bons réflexes pour laver sa couette sans l’abîmer, et préserver un sommeil plus sain.
Une à deux fois par an suffisent dans la majorité des cas.
Au changement de saison, ou après un épisode de maladie ou de forte transpiration, c’est le bon moment. Si vous utilisez une housse de couette lavée chaque semaine, la couette elle-même reste protégée du contact direct.
Non. Cela dépend de la taille, du garnissage et de la matière.
Les couettes synthétiques ou en plumes/duvet sont généralement lavables en machine à 40°C ou 60°C, mais nécessitent un séchage très rigoureux pour éviter les odeurs d’humidité.
Les couettes naturelles comme celles en fibre de bois (Tencel) ou en laine demandent souvent plus de précautions. Une machine à grande capacité ou un lavage en pressing écologique peut être nécessaire.
Avant tout, vérifiez l’étiquette.
Puis :
Si vous avez un sèche-linge, ajoutez une balle de tennis pour répartir le garnissage.
Oui, à condition que votre machine ait une capacité suffisante (au moins 7 à 9 kg). Si ce n’est pas le cas, privilégiez un pressing écoresponsable ou une laverie avec machines professionnelles. Cela garantit un lavage efficace sans endommager la fibre naturelle (Tencel).
Utiliser une housse de couette respirante, lavée toutes les 1 à 2 semaines, suffit à maintenir une bonne hygiène.
Et pour les plus exigeants, un protège-couette fin peut être ajouté entre la couette et sa housse. Invisible, mais utile.
Même bien entretenue, une couette finit par perdre en gonflant, en chaleur, ou en respirabilité. Si vous transpirez davantage, que votre sommeil est plus agité ou que la couette semble moins efficace… il est peut-être temps de la changer.
En moyenne :
Ces couettes sont souvent composées de deux parties reliées entre elles. Vous pouvez laver chaque partie séparément, à différents moments de l’année, selon l’usage. Veillez simplement à bien les identifier pour conserver leur complémentarité thermique.