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Chaque fin d’année porte en elle une double dynamique : celle du bilan et celle du renouveau. C’est une période où l’on se retourne sur le chemin parcouru tout en esquissant des promesses à soi-même pour l’avenir. Mais, trop souvent, ce moment se limite à une liste d’objectifs superficiels ou de résolutions vite abandonnées. Le Kiplisme propose une autre voie.
Inspiré par des valeurs de conscience, d’authenticité et d’équilibre, le Kiplisme nous invite à ralentir, à regarder au-delà de la performance et de l’accumulation. Ce n’est pas un simple “faire mieux”, c’est un “être mieux”. Alors, au lieu d’une liste de résolutions, pourquoi ne pas se poser les vraies questions ? Celles qui demandent un temps d’arrêt, un regard sincère, et parfois, une douce remise en question.
Pour accompagner cet article, je vous propose de vous munir d’un stylo et d’une feuille, nous allons essayer ensemble, de questionner année passée et année à venir pour vous assurer une prise de position ludique et un mieux être à venir ! Pour ne pas vous laisser seul(e) dans cet exercice, vous retrouverez mes réponses au fil de votre lecture.
Dans une société où tout s’accélère, le Kiplisme rappelle l’importance de ressentir pleinement. Pas seulement consommer des moments, mais de les vivre intensément.
Ressentir, c’est accepter la fluidité de la vie, avec ses contrastes. Le Kiplisme nous invite à ne pas fuir les émotions inconfortables, mais à les écouter. La quête d’un “bonheur constant” est un leurre. La vraie sérénité se trouve dans la capacité à vivre pleinement chaque instant, même ceux qui dérangent.
✍️ À faire : Notez trois moments de l’année où vous avez ressenti une forte émotion. Que vous disent-ils sur ce qui compte vraiment pour vous ?
On se dit souvent attaché à des valeurs : simplicité, authenticité, respect de la nature, attention aux autres. Mais combien d’entre nous vivent réellement selon ces principes ? Le Kiplisme prône l’alignement entre ses valeurs et ses actes.
• Mes choix de consommation reflètent-ils mes valeurs ?
• Quelles contradictions ai-je observées entre ce que je crois et ce que je fais ?
Le Kiplisme n’appelle pas à la perfection, mais à la cohérence. Pas besoin de tout bouleverser d’un coup, mais d’avancer pas à pas. Par exemple, consommer mieux (et moins) plutôt que plus. Choisir un matelas naturel au lieu d’un synthétique. Ou, à plus grande échelle, repenser ses habitudes au quotidien.
✍️ À faire : Identifiez une habitude quotidienne qui entre en contradiction avec vos valeurs. Que pouvez-vous changer de manière réaliste et progressive ?
On court, on fait, on accomplit. Mais s’arrête-t-on vraiment pour admirer le quotidien ? Le Kiplisme nous invite à porter notre attention sur la beauté de l’ordinaire. La lumière qui traverse la fenêtre le matin, le grain du bois sous nos doigts, le silence après une longue journée. Ce sont ces détails minuscules, mais puissants, qui nourrissent notre bien-être.
• Quand ai-je pris le temps d’admirer cette année ?
• Qu’est-ce qui m’a émerveillé récemment ?
Regarder le monde avec des yeux neufs est un exercice simple, mais transformateur. Ce n’est pas qu’une “pause”, c’est un entraînement à voir l’extraordinaire dans l’ordinaire. On ne le fait pas “parce qu’on a du temps”, on le fait pour redonner du sens à ce temps.
✍️ À faire : Chaque jour jusqu’à la fin de l’année, écrivez une petite chose que vous avez trouvée belle, surprenante ou émouvante. Relisez la liste le 31 décembre.
La peur est une force invisible, mais omniprésente. Elle nous retient, nous fait reculer, parfois sans qu’on s’en rende compte. Le Kiplisme ne cherche pas à éliminer la peur, mais à l’apprivoiser. Car elle signale souvent un besoin de changement, de courage, ou d’acceptation.
• Qu’ai-je repoussé cette année par peur ?
• Quelle “grande chose” aurais-je aimé oser ?
Se poser cette question, c’est révéler ce qui compte vraiment. La peur ne partira peut-être jamais, mais il est possible de négocier avec elle. Vous voulez changer de travail ? Créer un projet ? Faire ce voyage que vous remettez sans cesse à plus tard ?
✍️ À faire : Écrivez une lettre à la “peur” sur une page blanche. Que vous dit-elle ? Que vous empêche-t-elle de faire ? Quelle petite action pouvez-vous prendre pour lui prouver qu’elle se trompe ?
La liberté ne se mesure pas seulement en jours de congé ou en temps libre. Elle se mesure à la qualité des moments où l’on se sent vraiment libre. Parfois, c’est une simple promenade. D’autres fois, c’est une décision importante prise sans céder à la pression des autres.
• Quand ai-je ressenti une vraie liberté cette année ?
• Quelles contraintes ai-je acceptées à contrecœur ?
Le Kiplisme invite à créer de l’espace pour la liberté. Cela peut être du temps seul, du temps en nature, ou des moments sans écran. Mais c’est aussi faire des choix qui viennent de soi, et non des attentes des autres.
✍️ À faire : Notez les 3 moments de l’année où vous avez ressenti un véritable sentiment de liberté. Puis réfléchissez à ce qui a permis à ces moments d’exister.
La fin d’année, c’est l’heure des récoltes. Mais qu’avons-nous semé cette année ? Avons-nous arrosé les bonnes graines, ou simplement suivi le flot ? Le Kiplisme rappelle que l’essentiel grandit avec patience. On ne peut tout faire pousser d’un coup, mais on peut choisir où mettre son énergie.
• Quelles relations ai-je nourries cette année ?
• Quelles compétences ou passions ai-je fait grandir ?
Il ne s’agit pas de faire des “bilans de performances”, mais d’identifier ce qui a vraiment pris racine dans votre vie. Parfois, on réalise qu’on a nourri des relations qui ne nous apportent rien, ou qu’on a oublié de s’accorder du temps pour soi. Cette prise de conscience est une chance pour l’année à venir.
✍️ À faire : Listez 3 choses que vous avez fait grandir cette année (relations, savoir-faire, habitudes). Soyez fier·e de chaque graine qui a germé.
Dans un monde qui exige d’aller vite, savoir ralentir devient un acte de résistance. Ralentir ne signifie pas être “moins productif”, mais au contraire, se recentrer sur l’essentiel. On ne peut pas tout faire, mais on peut bien faire ce qui compte.
• Quand ai-je volontairement ralenti cette année ?
• Ai-je cédé à l’injonction de “toujours faire plus” ?
Le Kiplisme célèbre l’art du peu. C’est ce qui donne de la densité aux instants. Ralentir, c’est choisir de vivre au lieu de survivre. Ce n’est pas une pause, c’est une posture.
✍️ À faire : Notez une habitude que vous pourriez ralentir en 2025. Moins de scroll, moins de précipitation, plus de présence.
Ces questions ne visent pas à “faire mieux” l’année prochaine, mais à être plus en accord avec vous-même. Le Kiplisme n’appelle pas au changement radical, mais à un réajustement progressif. Il en faut peu pour être heureux, mais il faut du vrai.
À l’aube d’une nouvelle année, le plus beau cadeau que vous puissiez vous offrir, c’est de vous poser ces questions. Prenez le temps d’y répondre avec sincérité. Car chaque réponse est une graine qui, bien plantée, donnera de beaux fruits.