Collection Baobab : une histoire de racines, de formes et d’équilibre

🌳 Pourquoi Baobab

À l’ombre de notre inspiration, le baobab.
C’est autour de ces arbres à palabres que se rassemblent les générations, symbole de longévité et de rencontre. Dans les pays chauds où il pousse, le baobab crée une ombre rare et précieuse. Il devient alors un refuge, un point de ralliement, un lieu où le temps s’étire sans urgence.

Nous voulions vous offrir des pièces à cette image.
Des meubles pour se retrouver, pour ralentir, pour partager. Des formes accueillantes, des matières vivantes. Des objets qui traversent le temps sans se presser.

Une collection qui fait lien

Il y a dans la silhouette du baobab quelque chose de paradoxal.
Un tronc large, ancré profondément, et des branches fines, presque fragiles, qui s’élèvent en éventail. C’est ce contraste entre puissance et légèreté, entre ancrage et élévation, qui nous a guidés.

La collection Baobab reprend cette tension douce.
Des pièces solides mais aérées. Massives sans être imposantes. Courbes sans mollesse. Chaque élément trouve sa place avec humilité, sans jamais saturer l’espace.

Des meubles qui rassemblent, vraiment

Rassembler ne veut pas dire uniformiser.
Chaque meuble de la gamme a sa propre fonction, son propre rythme. Mais tous partagent un même langage : celui du bois massif, des lignes douces, des hauteurs justes.
Un banc pour les discussions improvisées. Une grande table pour les repas qui traînent. Un lit bas pour ralentir au réveil. Des étagères pour faire respirer les murs.

Le baobab n’est pas un arbre décoratif. Il est utile, généreux, central.
Et c’est ce que nous avons voulu traduire dans cette collection :
du lien, du temps, et un peu d’ombre pour mieux habiter la lumière.

🌿 Une même essence, mille façons d’habiter

Un baobab ne pousse jamais par hasard. Il prend le temps, il prend racine.
Et quand il grandit, il devient un repère. Il organise l’espace autour de lui, sans le contraindre.
C’est dans cet esprit que la collection Baobab a été conçue.

Chaque pièce est indépendante, mais toutes partagent la même sève : celle du bois massif, des lignes douces et d’une fabrication respectueuse. Ce n’est pas une série de meubles, c’est une famille. Une collection pensée pour habiter l’espace avec naturel, pour dessiner des lieux de vie, sans les figer.

Un langage commun, des usages ouverts

La gamme ne parle pas fort. Elle s’installe. Elle propose.
Une courbe ici, une inclinaison là. Des pieds légèrement rentrés pour faire oublier leur poids. Des plateaux ovales ou arrondis, sans angles brusques ni lignes dominantes.
Tout est fait pour que le regard circule, que l’on respire.

Même les étagères — souvent rigides — retrouvent ici de la souplesse : elles s’installent seules ou en groupe, comme des ponctuations sur un mur.

Et entre les versions claires ou foncées, pas de hiérarchie.
Juste une question d’ambiance : lumière diffuse ou chaleur profonde.

Composer librement

Dans une maison vivante, les meubles ne sont pas figés.
Un banc peut devenir console. Une table ronde peut s’inviter dans un coin lecture. Une petite étagère peut porter un souvenir ou un silence.
La collection Baobab accepte le mouvement, les détournements d’usage, les besoins qui changent avec le temps.

Et c’est peut-être cela, sa plus grande cohérence : elle s’adapte, sans se déformer.
Elle accompagne, sans imposer.

🧱 Les fondations : tables et lit

Tout commence par ce qui nous rassemble. Une table, un lit, un point d’ancrage.
Ces pièces-là, dans la collection Baobab, portent quelque chose de fondamental.
Ce sont les bases sur lesquelles se construisent les autres moments — les autres gestes.

Des tables pour se retrouver

Qu’elle soit ronde ou rectangulaire, une table Baobab n’est jamais purement fonctionnelle.
Elle est le centre invisible de la pièce. On s’y réunit, on y partage, on y reste plus longtemps que prévu.

La version ronde invite à la circulation, aux repas spontanés, aux discussions sacns fin.
La version rectangulaire, elle, installe le temps long. Plus grande, plus structurée, elle ancre l’espace, comme un tronc solide autour duquel tout peut s’organiser.

Et pourtant, malgré leur présence, ces tables restent discrètes.
Leurs pieds rentrés, leur plateau aux bords adoucis, tout dans leur dessin est pensé pour laisser de la place — à la lumière, aux jambes, aux conversations.

Un lit comme un refuge

Le lit Baobab, bas, large, solide, n’impose rien. Il repose.
Son piètement disparaît presque sous la structure, donnant cette impression de flottement à ras de sol.
C’est un meuble d’ancrage, mais aussi de légèreté : on y touche terre sans s’y alourdir.

Sans ornement, il laisse le champ libre aux textures, aux draps, aux nuits qu’on veut simples.
C’est un espace de retrait, au cœur de la maison, comme un repli calme sous les branches d’un arbre.
Un lieu pour se délester, ralentir, et recommencer.

Ce sont ces pièces — lit, tables, banc — qui posent les bases.
Celles autour desquelles la vie se déploie ensuite.
Non pas en ligne droite, mais par cercles concentriques, comme les cernes du bois.

🍃 Les ramures : les tables basses

Dans un arbre, les branches ne poussent jamais au hasard.
Elles cherchent la lumière, s’orientent, se déploient. Elles dessinent une forme mouvante, toujours en dialogue avec son environnement.
Les tables basses de la collection Baobab suivent cette logique.
Elles sont les ramures du salon : elles relient, accompagnent, complètent.

Des formats qui s'adaptent

Certaines tables sont hautes, d’autres plus basses. Certaines sont rondes, d’autres organiques.
Mais toutes reposent sur la même structure sensible : celle d’un plateau aux bords doux et d’un piètement discret, légèrement resserré pour laisser l’air circuler.

Les petites rondes de 60 ou 90 cm peuvent vivre seules ou se rassembler.
En version gigogne, elles jouent l’imbrication : une danse de formes qui se glissent l’une sous l’autre selon les moments.

La table basse ovale, la console et le banc, quant à eux, partagent une même base.
Seule leur hauteur varie.
Ce sont des pièces cousines, nées du même geste, et pensées pour répondre à différents usages — assise, appui, support — sans jamais perdre leur cohérence.

Des lignes qui respirent

Et puis il y a l’organique.
Une table libre, presque asymétrique, comme une feuille posée sur trois pieds.
Ni ronde, ni ovale, ni carrée.
Elle apporte à la collection une respiration différente. Un pas de côté, sans rupture.
Comme une branche qui pousserait un peu de travers, mais juste ce qu’il faut.

Les tables basses ne sont pas secondaires.
Elles sont ces petits centres gravitationnels, autour desquels on pose une tasse, un livre, un silence.
Elles bougent, elles s’adaptent, elles se rendent utiles sans bruit.
Et c’est peut-être ça, leur vraie beauté.

🌾 Les branches fines : les étagères

Les étagères sont aux murs ce que les branches sont à l’arbre : des extensions légères, utiles, structurantes.
Elles ne sont pas là pour occuper l’espace, mais pour lui donner un rythme, un souffle.
Et dans la collection Baobab, elles incarnent peut-être le geste le plus subtil.

De la ligne à la composition

Il y a d’abord les unités simples : une, deux, trois ou quatre tablettes.
Des objets minimalistes, à la fois utiles et silencieux.
On y pose peu de choses, mais toujours avec intention : un livre choisi, une céramique, une plante.
Ces étagères-là sont comme des virgules sur un mur trop vide. Elles créent du relief, sans jamais surcharger.

Et puis il y a la version modulable.
Un système discret qui permet d’imaginer sa propre composition : plus haute, plus large, plus graphique.
Chaque module s’accroche, se dédouble ou s’inverse, pour suivre le mouvement du lieu.
C’est une étagère qui ne dicte rien, mais propose — un support vivant, comme les ramifications d’un arbre qui épouse la lumière.

Une légèreté bien ancrée

Malgré leur finesse, les étagères Baobab sont stables.
En bois massif, elles conservent la chaleur du matériau, sa densité, son grain.
Et toujours cette logique de cohérence visuelle : bords adoucis, structure ouverte, couleur au choix selon l’ambiance souhaitée.

Ces branches fines, on ne les remarque pas toujours au premier regard.
Mais ce sont elles qui, souvent, dessinent l’équilibre de la pièce.
Celles qui accueillent les objets précieux, les souvenirs discrets, ou le vide assumé.

🪵 Un design au service de la vie

La beauté d’un objet ne se limite pas à sa forme.
Elle se mesure aussi à ce qu’il permet. À la façon dont il dure, dont il accompagne, dont il s’efface pour mieux laisser place à ce qui compte : les gestes, les jours, les saisons.

Du bois massif, rien d’autre

Chaque pièce de la collection Baobab est fabriquée en bois massif, certifié et sélectionné pour sa qualité.
Pas de placage, pas de compromis.
Juste une matière vivante, dense, qui patine sans faiblir.
Elle respire encore un peu, même après l’atelier. Elle porte dans ses fibres l’histoire de l’arbre — et celle à venir, chez vous.

Les finitions sont naturelles, sans vernis couvrant.
Le toucher est doux, mais le bois reste lui-même. Authentique. Franc. Durable.

Fabriqué avec soin, pensé pour durer

La fabrication est européenne, artisanale, maîtrisée.
Chaque meuble est produit en petites séries, pour garder le temps du geste bien fait.
Et tout a été pensé pour durer : les assemblages, les pieds démontables, l’absence de vis apparente.
Ce sont des détails que vous ne verrez peut-être pas tout de suite — mais que vous sentirez, jour après jour.

La collection Baobab n’a pas besoin d’être changée au gré des tendances.
Elle traverse le temps sans effort, parce qu’elle ne cherche pas à séduire.
Elle cherche à servir, rassurer, s’adapter.
Et si un jour elle fatigue, elle pourra être réparée, transmise, détournée.

Ce n’est pas un design spectaculaire. C’est un design qui accepte la vie, avec ses mouvements, ses traces, sa beauté imparfaite.

Un meuble en aggloméré est renouvelé tous les 7 à 10 ans en moyenne, contre 20 à 40 ans pour un meuble en bois massif entretenu.

Source : Fiche technique Inies/ADEME - Données environnementales sur les matériaux d’ameublement

🏡 Découvrir, composer, habiter

Il n’y a pas une seule manière d’entrer dans la collection Baobab.
On peut commencer par une table, et finir par une étagère. Ou l’inverse.
On peut n’en choisir qu’une — et la laisser vivre seule, comme un accent posé dans la pièce.
Ou bien composer peu à peu un ensemble, comme on assemble des mots pour former une phrase.

Car c’est aussi cela, habiter : composer avec ce qui nous entoure, avec ce que l’on est.
Et les meubles Baobab, dans leur douceur et leur cohérence, accompagnent cette recherche d’équilibre.
Ils n’imposent rien. Ils proposent.
Une assise, une surface, un geste.

Il suffit parfois de peu.
Un banc dans une entrée. Une étagère nue. Une table ronde pour les jours ordinaires.
Et déjà, quelque chose change.
L’espace devient plus calme. Plus accueillant. Plus vous.

À l’ombre du baobab, on ne fait pas que s’asseoir. On s’ancre. On respire. On partage.
Et peut-être, tout simplement, on commence à se sentir chez soi.